lundi 31 janvier 2011
Tranche 1 : une politique linguistique ambitieuse
Tranche 1 - Une politique linguistique ambitieuse
envoyé par tranche4. - Regardez les dernières vidéos d'actu.
mercredi 26 janvier 2011
lundi 24 janvier 2011
lundi 10 janvier 2011
Défense de l'hôpital public.
alors à signer, faire signer, circuler, diffuser....
on ne va pas quand même se laisser casser l'hôpital en plus du reste ??
http://www.petition-mdhp.fr/petition.php
Théâtre à Lys
SAMEDI 15 JANVIER
21h Maison Pour Tous de Lys
Proposée par Le Rideau Rouge de Mirepeix et le Foyer Rural de Lys
Jean-Hubert Delaguillote dirige la société « Couches Culottes Delaguillote »
Son épouse, Hermeline, très dépensière, est bien loin des préoccupations de son mari.
Quant au fils, Pierre-Henri, il poursuit des études de droit.
Tout irait presque pour le mieux dans le meilleur des mondes si cette entreprise n'était pas au bord de l'agonie.
Si Jean-Hubert, aidé de son comptable, ne trouve pas rapidement les fonds nécessaires au redressement de son affaire, il pourra mettre la clef sous la porte.
A moins d'un miracle ou d'une idée géniale....
Entrée : 5 € . Buvette
vendredi 7 janvier 2011
jeudi 6 janvier 2011
Hasta siempre !

Ca peut être le prénom d'un tout petit bout de gamin de bientôt 2 ans au caractère taillé dans le rocher, ça peut être un drôle d'animal tout plein de poils comme une boule de poils, juste un animal... ça peut être des yeux en haut d'un petit sommet ossalois un jour de début d'année sous le vent froid.
C'est peut être le hasard.
Peut être.
Hasta siempre et plus encore.
mercredi 5 janvier 2011
Ex combattants de Tsahal, ils refusent maintenant de se taire et parlent

Micha, Dana, Noam, et Mikhael ont combattu pour Tsahal. C'est la première fois que des officiers israéliens manifestent à visage découvert leur contestation à propos des exactions infligées dans la bande de Gaza, entre 2000 et 2009.
Des grenades pour faire peur
« On déboule dans un village palestinien à 3 heures du matin et on se met à lancer des grenades étourdissantes dans les rues. Pour rien, pour faire peur. On voyait les gens se réveiller affolés... On nous raconte que cela fait fuir les éventuels terroristes. N’importe quoi... Par rotation, on faisait ça toutes les nuits. La routine. On nous disait “Bonne opération”. On ne comprenait pas pourquoi. »
Voler un hôpital
« Une nuit, nous avons l’ordre d’entrer de force dans une clinique d’Hébron qui appartient au Hamas. On confisque l’équipement : ordinateurs, téléphones, imprimantes, d’autres choses, il y en a pour des milliers de shekels. La raison ? Toucher le Hamas au portefeuille, juste avant les élections du Parlement palestinien, pour qu’il perde. Le gouvernement israélien avait officiellement annoncé qu’il n’allait pas tenter d’influencer cette élection... »
« On a tué un type par pure ignorance »
« On ne savait pas que, pendant le ramadan, les fidèles sortent dans la rue à 4 heures du matin avec des tambours pour réveiller les gens, qu’ils mangent avant le lever du soleil. On identifie un type dans une allée qui tient quelque chose, on lui crie “stop”. Là, si le “suspect” ne s’arrête pas immédiatement, la procédure exige des sommations. “Arrêtez ou je tire”, puis on tire en l’air, puis dans les jambes, etc. En réalité, cette règle n’est jamais appliquée. On l’a tué, point. Et par pure ignorance des rites locaux. »
Les paysans en larmes
« Nos excavateurs dressent une barrière de séparation en plein milieu d’un champ de figuiers palestinien. Le paysan arrive en larmes : “J’ai planté ce verger pendant dix ans, j’ai attendu dix ans qu’il donne des fruits, j’en ai profité pendant un an, et là, ils me le déracinent !” Il n’y a pas de solution de replantage. Il y a des compensations seulement à partir de 41 % de terre confisquée. Si c’est 40 %, tu n’as rien. Le pire c’est que peut-être demain ils vont décider d’arrêter la construction de la barrière. »
Rendre ses galons, redevenir soldat
« On installe des check points surprises. N’importe où, ça n’est jamais clair. Et soudain on arrête tout le monde, on contrôle leur permis. Il y a, là, des femmes, des enfants, des vieux, pendant des heures, parfois en plein soleil. On arrête des innocents, des gens qui veulent aller travailler, trouver de la nourriture, pas des terroristes... J’ai dû le faire pendant cinq mois, huit heures par jour, ça m’a cassé. Alors j’ai décidé de rendre mes galons de commandant. »
« Notre mission : déranger, harceler »
« On est à Hébron. Comme les terroristes sont des résidents locaux et que notre mission est d’entraver l’activité terroriste, la voie opérationnelle c’est de quadriller la ville, entrer dans des maisons abandonnées, ou des maisons habitées choisies au hasard – il n’y a pas de service de renseignement qui nous pilote –, les fouiller, les mettre à sac... et ne rien trouver. Ni armes ni terroristes. Les habitants ont fini par prendre l’habitude. Ils sont irrités, dépressifs, mais habitués car ça dure depuis des années. Faire souffrir la population civile, lui pourrir la vie, et savoir que cela ne sert à rien. Cela engendre un tel sentiment d’inutilité. »
« Les punitions collectives »
« Mes actes les plus immoraux ? Faire exploser des maisons de suspects terroristes, arrêter des centaines de gens en masse, yeux bandés, pieds et mains liés, les emmener par camions ; pénétrer dans des maisons, en sortir brutalement les familles ; parfois on revenait faire exploser la maison ; on ne savait jamais pourquoi telle maison, ni quels suspects arrêter. Parfois, ordre nous était donné de détruire au bulldozer ou aux explosifs l’entrée du village en guise de punition collective pour avoir hébergé des terroristes. »
« Protéger des colons agressifs »
« On débarque dans le district de Naplouse pour assurer la sécurité des colons. On découvre qu’ils ont décidé d’attaquer Huwara, le village voisin, palestinien. Ils sont armés, jettent des pierres, soutenus en cela par un groupe de juifs orthodoxes français qui filment, prennent des photos. Résultat : on se retrouve pris entre des Arabes surpris, terrorisés, et notre obligation de protection des colons. Un officier tente de repousser les colons dans leurs terres, il reçoit des coups, il y a des tirs, il abandonne. On ne sait plus quoi faire : les retenir, protéger les Palestiniens, nous protéger, une scène absurde et folle. On a fini par faire retourner les agresseurs chez eux. Une dizaine d’Arabes ont été blessés. »
Assassiner un homme sans armes
« On est en poste dans une maison qu’on a vidée de ses occupants, on soupçonne la présence de terroristes, on surveille, il est 2 heures du matin. Un de nos tireurs d’élite identifie un mec sur un toit en train de marcher. Je le regarde aux jumelles, il a dans les 25-26 ans, n’est pas armé. On en informe par radio le commandant qui nous intime : “C’est un guetteur. Descendez-le.” Le tireur obéit. J’appelle cela un assassinat. On avait les moyens de l’arrêter. Et ça n’est pas un cas unique, il y en a des dizaines. »
jeudi 30 décembre 2010
mardi 28 décembre 2010
Chantier Patrimoine et Insertion

J'ai la chance de participer depuis quelques années aux chantiers Patrimoine et Insertion organisé par la Maison de la Montagne de Pau.
Un document de synthèse vient d'être publié.
Vous pouvez le lire ci-dessous.
Et si l'envie vous prend de soutenir la Maison de la Montagne, n'hésitez pas !
Le blog de la Maison de la Montagne : http://blog.lamaisondelamontagne.org
Le site de la Maison de la Montagne : http://www.lamaisondelamontagne.org/

vendredi 24 décembre 2010
Merci !!
Merci à toi joli petit morceau de montagne du côté d'Arlet pour ce cadeau !
mardi 21 décembre 2010
Aurore MARTIN explique pourquoi elle se cache.

AURORE MARTIN FAIT PARVENIR AU JOURNAL DU PAYS BASQUE UN COURRIER DANS LEQUEL ELLE EXPLIQUE LES RAISONS QUI L'ONT POUSSEE A SE CACHER
Le coup de massue est tombé!
Me voilà amenée à vous écrire une lettre d’un genre particulier.
Je m’adresse à vous tous aujourd’hui pour vous exprimer toute mon indignation, mon inquiétude, ma peur, mais aussi toute ma détermination et ma volonté de me battre.
Il est l’heure de défendre nos droits civils et politiques avec force, ce précédent ne laisse rien présager de bon.
L’inacceptable est-il acceptable ? Bien sur que non ! Cependant l’histoire du Pays Basque nous a souvent démontré que l’inacceptable était possible : les extraditions, les multiples mandats d’arrêt européens délivrés à des dizaines de militants politiques (Segi, Askatasuna, Udalbiltza…), l’existence des législations et tribunaux d’exceptions à Paris et Madrid, la pratique de la torture dans les commissariats et casernes espagnoles, les partis politiques interdits,
deux quotidiens fermés et ses journalistes torturés et incarcérés, les arrestations massives, la disparition et la mort de Jon Anza… Tout cela existe, cette répression est normalisée, c’est le lot quotidien du Pays Basque, des Basques. Cela est possible car les principales formations politiques en France et en Espagne, avec la complicité de leurs relais locaux, le permettent, le défendent et pour certains le laissent faire par leur silence coupable. Il est temps de prendre vos responsabilités !
Je n’ai pas été surprise par le verdict de la Cour de Cassation. Nous le savions depuis longtemps, dans les affaires basques, les justices espagnole et française sont là pour appliquer des décisions
politiques. Depuis mon incarcération à Seysse, les dés étaient jetés, le reste n’était que de la mise en scène, une belle mascarade. Tout cela pour arriver à leur fin, l’illégalisation de fait de Batasuna par l’Etat français, de toute la gauche abertzale, et plus s’ils le jugent nécessaire. Une illégalisation sournoise menée main dans la main avec l’Espagne.
Une preuve de plus que l’Etat français est un acteur majeur et direct du conflit politique basque. En acceptant ce MAE, Paris ne fait que renforcer ses choix politiques : la répression et la négation du Pays Basque ; une négation qui est à l’origine de ceconflit. Il n’y aura pas de solution juste donc définitive tant que la France ne reconnaîtra pas l’existence politique du Pays Basque nord.
Ce nouveau saut répressif a lieu au moment où la gauche abertzale multiplie ses efforts en faveur d’un processus démocratique de résolution de ce conflit. Mon Mandat d'Arrêt Européen et le maintien dans l’illégalité de la gauche abertzale sont des obstacles à sa mise en place. Tous les acteurs du conflit doivent pouvoir participer à ce processus en toute normalité ; dans ce sens, la gauche abertzale doit être légalisée sur l’ensemble du Pays Basque et toutes les poursuites
judiciaires à son encontre stoppées.
Malgré cette répression, ces provocations, Batasuna réaffirme son engagement en faveur de ce processus démocratique. Dans ce sens, nous mettrons tout en œuvre pour qu’il puisse aller jusqu’à son terme.
Je n’ai pas l’intention de me soumettre aux autorités espagnoles, ni de faciliter à la France l’exécution de mon Mandat d'Arrêt Européen.
Depuis quelques jours, ma vie a quelque peu changé. En effet, mon activité politique est interdite en France, en Espagne et en Pays Basque. Je n’ai pas d’autre choix que de me cacher pour pouvoir continuer mon activité politique au sein de Batasuna. J’ai donc décidé
d’arrêter mon contrôle judiciaire et de ne plus me montrer publiquement. Je suis en Pays Basque, parmi vous, grâce à vous, grâce aux nombreux amis et soutiens qui m’ont accueillie et ouvert leurs portes. En Pays Basque, il y a une valeur qu’on ne nous enlèvera jamais, c’est celle de la solidarité.
Merci à tous, proches, amis, militants, élus… pour tout le travail accompli. Sans vous tous, cela ne serait pas possible. Continuons ce travail, rassemblons-nous, créons entre tous un rempart contre la répression, créons les conditions de la résolution de ceconflit, créons les conditions de la reconnaissance politique du Pays Basque nord.
Pour terminer cette lettre je vous demande d’avoir une pensée pour les militants incarcérés ou réfugiés, et leurs familles, qui, comme moi, vont passer les fêtes de fin d’année loin de leurs proches.
Merci.
Aurore Martin, le 20 décembre 2010
lundi 20 décembre 2010
Homophobie
"l'hostilité, explicite ou implicite, envers des individus dont les préférences amoureuses ou sexuelles concernent des individus de même sexe."
Ce mot "Homophobie" faisait parti de ma culture militante comme un phénomène à combattre, mais n'avait pas vraiment de résonance profonde pour moi. Un comportement pas acceptable d'après ma vision du monde, mais pas plus. Une forme de "politiquement correcte" un peu mécanique, mais c'était comme ça.
J'avais comme principe, et je l'ai toujours, que les vies amoureuses et sexuelles (il est possible d'aimer sans sexe ou l'inverse) des autres ne me regardent pas, pas plus qu'elles ne regardent la "société". Que ce soit entre un homme et une femme, entre deux hommes ou entre deux femmes. Tant que la relation concerne deux adultes consentants, l'histoire les concernent à eux et à personne d'autre.
Basique comme réflexion, oui je sais.
Mais au nombre de fois où j'entends encore autour de moi "c'est pas un XXXX [mettez le mot que vous voulez] de pédé !" ou bien "tu parles les gouines une fois qu'elles ont gouté à la b.... elles y reviennent !" (ou toutes les autres phrases de ce type du même registre)... et bien...
Pas si basique que ça en fait.
Et puis il y a des rencontres qui font que derrière un mot, tu mets un visage, des visages.
Et ce mot te devient carrément insupportable.
Non pas qu'il l'était avant, mais à présent il te touche directement, à toi, au fond de tes tripes.
Ce n'est plus une vision de l'esprit, ce n'est plus un concept politique, non, c'est une agression directe contre ceux que tu aimes. Que tu aimes parfois beaucoup.
Tu te rends compte que des blagues quotidiennes peuvent être violentes, très violentes pour des gens autour de toi. Sans parler de ce qui va au-delà des blagues.
Une violence gratuite et stupide qui te touche parce qu'elle touche ceux que tu aimes.
Et si vous n'attendiez pas comme j'ai attendu ?
Et si on réagissait dans notre quotidien un peu plus, même si ça ne nous touche pas aux tripes ?
Et si la façon de s'aimer des autres on la regardait juste comme une joli relation entre deux humains, et pas plus ?
Pour finir (de commencer), une petite BD sympa trouvée sur internet :
http://djou-bd.over-blog.com/categorie-10922527.html
Son nouveau blog : http://www.juliemaroh.com/
En savoir plus de façon plus "classique" :
http://www.sos-homophobie.org/
Au Quebec : http://www.homophobie.org/
Liubila
Merci à Betty, Véro et Jabali !
A découvrir, écouter, faire découvrir !
mercredi 8 décembre 2010
Fête de la Raquette à Neige

9 de genèr, hèsta de las raquetas de neu !
9 janvier, fête de la raquette à neige !
Topos numériques de la Maison de la Montagne

Des topos, on en trouvait déjà sur les sites Internet de Passe Murailles, Rémi Thivel, Christian Ravier ou encore Pierre Puiseux. On les remercie d'ailleurs tous pour leur collaboration.
Mais alors où est la révolution me direz-vous ?
Et bien on va beaucoup, beaucoup plus loin ! Un moteur de recherche permet de trouver facilement l'information, chaque topo est géo-référencé et surtout l'outil est collaboratif : l'utilisateur cherche et partage de l'information ...
Déjà 1500 topos numériques sur
http://topos.lamaisondelamontagne.org/
Ce site Internet, cette bibliothèque, ce classeur virtuel c'est le vôtre ! Cherchez, fouillez, partagez, rêvez, voyagez ...
Plus d'informations sur le blog ou directement sur http://topos.lamaisondelamontagne.org/.
vendredi 3 décembre 2010
Lanceurs d'Alerte
Pour en savoir plus, pour agir :
http://sciencescitoyennes.
mercredi 1 décembre 2010
Formation Neige et Avalanche
Sommes-nous suffisamment sensibilisés aux risques que peuvent présenter la neige et les avalanches ?
C’est pour tenter de répondre à cette question que le collectif montagne, formé par La Maison de la Montagne, la FFCAM, la MJC Berlioz, la Cie des guides des Pyrénées, la FFME et les Amis du Parc National des Pyrénées, organise :
Neige et Avalanche
ENTREE LIBRE
Vendredi 10 décembre à 20 heures
à la MJC Berlioz
84 avenue de Buros à Pau
La soif de liberté, de découverte d’espaces sauvages et préservés expliquent probablement le succès de ce que l’on appelle le « freeride ». On constate tout de même que 38% des accidents ont lieu en hors-piste ; ce triste constat s’explique notamment par la forte fréquentation des domaines skiables français.
Mais les autres activités montagne ont également le vent en poupe ! Le nombre de randonneurs à ski ou en raquettes ne cesse d’augmenter chaque année.
Benoît DANDONNEAU, Pierre BEUSCAR et Gabriel ARAGUES, guides de haute-montagne, animeront cette soirée qui permettra à tous, pratiquants novices ou ayant déjà quelques notions, jeunes snowboarders freeriders ou randonneurs en raquettes, d’arpenter les montagnes plus sereinement.
Comprendre ce matériau vivant qu’est la neige, comprendre le bulletin d’estimation du risque d’avalanche, éviter les pièges, sentir la montagne, le matériel indispensable, etc. sont quelques uns des thèmes qui seront abordés pour cette première approche de la neige et des avalanches.
Imprimerie Trace
http://www.imprimerietrace.fr/
http://www.myspace.com/imprimerietrace
lundi 22 novembre 2010
mercredi 17 novembre 2010
Accueil bilingue et petite enfance
Le développement de l’accueil bilingue
dans le domaine de la petite enfance
26 & 27 novembre 2010 à l’IUFM de Privas (07)
Pour vous inscrire au colloque IEO.
Inscription gratuite. Repas de midi : 15€.
Le bulletin d'inscription se trouve ici.
Quel intérêt pour les enfants ?
Le bilinguisme précoce, un avantage pour le développement cognitif des tout petits de 0 à 3 ans.
Points de vue de spécialistes de la thématique : psycholinguistes, chercheurs, praticiens du bilinguisme précoce, médecin d’un service de Protection Maternelle Infantile.
Comment proposer et structurer des formes d’accueil bilingues pour la petite enfance ?
Exemples de crèches bilingues français-breton, français-allemand, français-italien.
Exemple de crèche immersive en basque.
Présentation de la première crèche bilingue français-occitan.
Voir le programme complet ici et sur www.ieo-oc.org.
Un lieu d’échanges
Ce colloque sera un lieu d’échanges ouvert à toutes les personnes intéressées par cette thématique : parents, professionnels de la petite enfance, élus, personnes intéressées par le bilinguisme et le plurilinguisme, curieux…
Nous voulons que ce congrès soit le début d’une réflexion collective et du développement véritable du bilinguisme français-occitan dans les structures d’accueil de la petite enfance.
Colloque organisé par l’Institut d’Etudes Occitanes,
En partenariat avec le Conseil Général de l’Ardèche, avec le soutien des Régions Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Côte d’Azur, Midi-Pyrénées, Aquitaine et Auvergne, du Ministère de la Culture et de la Communication, et avec l’aide technique de l’IUFM d’Ardèche, du CDDP d’Ardèche, et de l’Institut d’Etudes Occitanes d’Ardèche.
Renseignements, inscriptions :
Institut d’Etudes Occitanes
05 34 44 97 11
direccion@ieo-oc.org
www.ieo-oc.org
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Lo desvelopament de l’acuèlh bilingue
dins lo domeni de la petita enfança
26 & 27 novembre de 2010 a l’IUFM de Privàs (07)
Per vos marcar al collòqui IEO.
Inscripcion gratuita. Repais de miègjorn : 15€.
Lo butletin d'inscripcion se trapa aicí.
Qual interès per los mainatges ?
Lo bilinguisme precòç, un avantatge per lo desvolopament cognitiu dels drollets de 0 a 3 ans.
Ponchs de vista d’especialistes de la tematica : psicolinguistas, cercaires, praticians del bilinguisme precòç, mètge d’un servici de Proteccion Maternala Infantila.
Coma prepausar e estructurar formas d’acuèlh bilinguas per la petita enfància ?
Exemples de grèpias bilinguas francés-breton, francés-alemand, francés-italian.
Exemple de grèpias immersivas en basc.
Presentacion de la primièra grèpia bilingua francés-occitan.
Veire lo programa complet aicí o sus www.ieo-oc.org
Un luòc d’escambis
Aquel collòqui sarà un luòc d’escambis ubèrt a tots los qui son interessats per aquela tematica : parents, professionals de la petita enfància, elegits, monde interessats per lo bilinguisme e lo plurilinguisme, curiós...
Volèm qu’aquel congrès siá la debuta d’una reflexion collectiva e del desvolopament vertadièr del bilinguisme francés-occitan dins las estructuras d’acuèlh de la petita enfància.
Collòqui organizat per l’Institut d’Estudis Occitans,
en partenariat amb lo Conselh General d’Ardecha, amb lo sosten de las Regions Ròse-Alps, Miègjorn-Pirenèus, Provença-Alps-Còsta d’Azur, Aquitània, Auvèrnhe, del Ministèri de la Cultura, e amb l’ajuda tecnica de l’IUFM d’Ardecha, del CDDP d’Ardecha, e de l’Institut d’Estudis Occitans d’Ardecha.
Entre-senhas, inscripcions :
IEO : 05 34 44 97 11
direccion@ieo-oc.org
www.ieo-oc.org
dimanche 31 octobre 2010
samedi 30 octobre 2010
Soutien à Gilles-Eric Séralini
Bonjour à toutes et tous,
C'est en tant que représentant-e-s d'organisations ou/et élu-e-s m'ayant apporté votre soutien lors du conflit avec ma hiérarchie en 2008 (suite à mes prises de position publiques sur les OGM agricoles) que je vous contacte à nouveau aujourd'hui.
Ce soutien — avec les 50 000 signatures recueillies — s'est avéré très fructueux puisque, comme vous le savez, l'Université, qui m'avait reçu en délégation suite à la manifestation du 25 juin 2008 sur le campus d'Orsay et devant le Ministère de la Recherche, avait pris en ma faveur un certain nombre d'engagements qu'elle a jusqu'à aujourd'hui respectés. Elle a non seulement fait en sorte, auprès du CNRS et de l'Institut de recherche auquel j'étais rattaché (IGM), que mes besoins financiers de fonctionnement soient assurés jusqu'à fin 2009 (fin du précédent contrat quadriennal), mais également que je puisse aujourd'hui continuer mes activités de recherche alors que je ne suis plus rattaché à l'IGM depuis le 1er janvier 2010.
Toutefois, tout n'est malheureusement pas encore résolu puisque l'absence de rattachement à une structure de recherche labellisée fait que je ne bénéficie aujourd'hui d'aucune infrastructure technique et administrative et que je me retrouve à devoir assumer toutes les tâches avec ma collègue, ce qui nous détourne considérablement de notre véritable activité de recherche. L'université en a conscience, et fait de notre rattachement à une nouvel institut une exigence et une priorité. La difficulté est que les Instituts susceptibles de m'accueillir, c'est-à-dire ayant des centres d'intérêt correspondant à l'activité de recherche de mon équipe, ne manifestent pas un grand enthousiasme à l'idée que je les rejoigne, et c'est actuellement une situation très compliquée tant pour moi que pour l’Université...
Mais si je reprends contact avec vous aujourd’hui, ce n’est pas pour moi mais pour mon collègue Gilles-Eric Séralini, Professeur à l’Université de Caen, et Président du Conseil Scientifique du CRIIGEN (Comité de Recherche et d’Information Indépendantes sur le Génie Génétique). Comme vous le savez certainement, Gilles-Eric fait l’objet d’une campagne de dénigrement et de pressions extrêmement violentes, de la part de Monsanto et de l’EFSA bien sûr mais également d’une certaine frange de la communauté scientifique, en particulier depuis la publication fin 2009 (avec Dominique Cellier et Joël Spiroux de Vendomois), d’une contre-expertise des données fournies par Monsanto concernant 3 maïs OGM, et la réalisation, pour la Cour Suprême de l’Inde, d’expertises sur une aubergine GM ayant conduit le gouvernement indien à mettre en place un moratoire sur la culture de cet OGM.
La Fondation Sciences Citoyennes (FSC) et le réseau ENSSER (European Network of Scientists for Social and Environmental Responsability) dont je suis l’actuel vice-président ont lancé une pétition de soutien à Gilles-Eric à la fois auprès de la communauté scientifique et du grand public. Au delà du cas de Gilles-Eric, il s’agit de défendre la controverse scientifique et l'expertise pluraliste et contradictoire.
Je vous joins cette pétition en document attaché pour que vous puissiez la relayer sur vos sites et/ou blogs respectifs. Pour signer la pétition, il suffit d’aller sur le site suivant : http://sciencescitoyennes.org/spip.php?article1801 . Merci de relayer ce lien et cette lettre de soutien le plus largement possible, y compris au delà de nos frontières (il y a aussi une version anglaise jointe).
Par ailleurs, et toujours dans ce contexte, Gilles-Eric Séralini a décidé d’intenter un procès en diffamation contre Marc Fellous (ex-président de la CGB) et l’AFBV (Association Françaises des Biotechnologies Végétales) parrainée par Axel kahn, Claude Allègre,... et dont Fellous est le président (voir “Les attaques dont GES fait l’objet” dans la lettre de soutien jointe). Ce procès aura lieu le 23 novembre prochain à Paris, et FSC souhaite, à cette occasion, co-organiser avec toutes les organisations qui en sont d’accord, comme cela a été le cas pour moi en 2008, une manifestation face au tribunal. Je suis mandaté par FSC pour coordonner la mise en place de cette manifestation. Nous disposons donc d’un peu moins de deux mois, et j’ai besoin dans un premier temps de connaître toutes les organisations qui souhaitent s’associer à FSC pour organiser et mettre en place cette manifestation. Merci de bien vouloir me faire part de votre réponse dans les plus brefs délais. Je reprendrai contact ensuite avec les représentants des organisations concernées pour définir une date et un lieu de réunion au cours de laquelle nous discuterons de tous les aspects matériels et logistiques.
Dans l’attente de votre retour, je vous adresse à toutes et tous mes très cordiales salutations.
Christian Vélot
A lire "Nous pouvons nous dépolluer" Ed.éditions J.Lyon 2009, Gilles-eric Séralini
Solidaires pour une grève efficace !
http://www.bizimugi.eu/grevesolidaire/
Et non... nous ne sommes pas encore enterré-es !
Loin de là !
La Chute - Désobeissance
A voir et à faire circuler à mon avis !!
La chute - Désobéissance
envoyé par VOSTF. - L'actualité du moment en vidéo.
Pig Business, le film
Soutenu par : Compassion in World Farming, la Coordination Européenne Via Campesina, Food and Water Watch Europe, les Amis de la Terre, IFOAM, CIWF, Corporate Europe Observatory et l'Association Soil.
Pig Business propose ce film gratuitement à des ONG, associations et collectifs, pour qu'il soit utilisé comme un outil d'information des citoyens de l'UE. Il montre les véritables coûts de l'agriculture industrielle portant sur les personnes, les porcs et la planète, ainsi que des solutions possibles pour faire évoluer cette situation.
Les thèmes développés sont la destruction des économies rurales, la mainmise des transnationales sur les plus petites exploitations, les questions environnementales (parmi lesquelles le soja servant à nourrir les porcs, qui vient souvent d'Amazonie), ainsi que certaines questions liées à la répartition des subventions de la PAC, à la santé humaine et au bien-être animal.
C'est une ressource précieuse pour vous, et nous espérons ainsi apporter une valeur ajoutée à l'excellent travail que vous effectuez déjà.
Il y a quatre ans, la militante chevronnée et éco-guerrière Tracy Worcester est partie découvrir quels étaient les véritables coûts du porc à bas prix importé de l'étranger, et vendu dans les supermarchés de Grande-Bretagne.
Son documentaire Pig Business réalise un état des lieux des conséquences de l'élevage industriel aux États-Unis, et de la propagation de ce modèle d'agriculture intensive en Europe. Le film se concentre sur le premier producteur mondial de viande de porc, Smithfield Foods, basé aux États-Unis. Avec 52.000 employés traitant 27 millions de porcs par an dans 15 pays, dégageant des ventes annuelles d'environ 11 milliards de dollars en 2010, cette entreprise dispose d'une influence des plus redoutables dans l'industrie du porc.
Le film dénonce ce qui est néfaste dans le modèle contemporain d'agriculture industrialisée, et propose des solutions. Il peut donc être utilisé comme un puissant outil de plaidoyer.
Mettant l'accent sur les élevages industriels en Pologne et aux États-Unis, Pig Business révèle pourquoi nous devrions cesser d'acheter de la viande provenant d'un système qui porte préjudice à la santé humaine, pollue l'environnement, détruit les communautés rurales, et cause des souffrances inacceptables aux animaux.
Maïs population
Ca peut être intéressant dans un coin comme le notre où le maïs est présent, très présent !
http://www.aldudarrak-bideo.com/kanaldude/index.php?option=com_seyret&Itemid=27&task=videodirectlink&id=498
Libertat tà Mumia ! Free Mumia !
300 millions d'euros pour la LGV...
C'est l'année où son pouvoir fiscal est réduit à néant que la Région vote 300 millions d'euros pour la construction de la ligne LGV Tours-Bordeaux. Elle est la première des 57 collectivités locales sollicitées par Réseau ferré de France et l'État à s'engager. Décryptage.
Le Conseil régional d'Aquitaine a pris hier deux décisions emblématiques de sa situation politique et financière pour le moins paradoxale en cette fin d'année 2010. Les élus ont d'abord décidé d'augmenter la taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP) pour le supercarburant sans plomb et le gazole en 2011. Il en coûtera 1,77 centime d'euro de plus par litre de super sans plomb et 1,15 centime d'euro de plus pour le gazole aux utilisateurs des stations-service d'Aquitaine. La taxe du Grenelle « C'est injuste et scandaleux, car cet impôt pèse sur les petits revenus », estime Alain Baché. Le seul élu communiste de l'Assemblée, membre du groupe Front de gauche (Landes), estime à 50 euros par an le coût de la mesure pour une famille modeste d'Aquitaine. Le Modem chiffre à environ 30 euros annuels ce surcoût, tandis que Stéphane Delpeyrat (PS, Landes) l'estime à 50 centimes d'euro supplémentaires par plein, soit environ 15 euros par an. Le Conseil régional a utilisé un article de la loi de finances 2010, appelé TIPP Grenelle de l'environnement, qui autorise les Régions à cette fraction supplémentaire de TIPP pour financer des infrastructures ferroviaires ou fluviales. Elle rapportera au budget de l'Aquitaine 33 millions d'euros supplémentaires. C'est avec la carte grise la dernière ressource fiscale sur laquelle la Région a désormais la main depuis que la même loi de finances 2010 a supprimé la taxe professionnelle (TP). Majorité pour le TGV Les élus ont pris hier une autre décision, aux antipodes financiers de la première. Ils ont largement voté (PS, UMP et Modem) la contribution aquitaine de 306 millions d'euros pour la construction de la LGV Tours- Bordeaux, pour un investissement de quelque 7 milliards d'euros. La Région est ainsi la première des 57 collectivités locales sollicitées par Réseau ferré de France et l'État à s'engager. C'est, de mémoire d'anciens à l'hôtel de région, la plus grosse délibération jamais votée en Aquitaine. C'est en 2014 que la contribution du Conseil régional sera la plus forte (77 millions d'euros). La Région pourrait souscrire un emprunt longue durée (cinquante ans) auprès de la Caisse des dépôts. Le débat sur les orientations budgétaires a tourné autour de la capacité de la Région à financer ses projets demain. La vice-présidente aux finances, Isabelle Boudineau (PS, Gironde), a chiffré à quelque 250 millions d'euros le manque à gagner dans les cinq ans avec la fin de la TP, noircissant volontairement le tableau. Un choix douloureux Il est utile de rappeler que la fin de la TP a profité à 40 % des entreprises régionales (moins de 2 millions d'euros de CA). Et que cet impôt économique est remplacé par une cotisation nationale sur la valeur ajoutée. L'État compensera par des dotations qui font que demain, c'est Paris et non plus Bordeaux qui décidera pour la quasi-totalité du budget régional. « Vous êtes sévère et excessive », a rétorqué Dominique Ducassou (UMP Gironde), qui estime aussi « qu'il faudra peut-être ralentir demain les investissements dans l'université, « un puits sans fond, et réduire des dépenses de fonctionnement », a-t-il déclaré. « Vous avez les moyens et de très bons indicateurs », a adressé Geneviève Darrieussecq (Modem, Landes) à Alain Rousset. L'Aquitaine dispose, c'est vrai, d'une vraie capacité d'emprunt. Elle peut retrouver un endettement zéro en à peine plus d'un an si elle le devait. Depuis douze ans, Alain Rousset a justement désendetté la Région, souvent sous la critique, pour pouvoir financer ces énormes investissements. Il est aujourd'hui confronté à une indispensable hiérarchisation dans ses priorités. « J'espère que l'on pourra continuer à financer demain le rail, l'université et nos politiques pour la jeunesse », a-t-il indiqué. La réforme qu'il subit va le contraindre à faire des choix. Sans doute politiquement douloureux. Le vote du budget en décembre en témoignera.
Source : http://www.sudouest.fr/2010/10/26/une-decision-historique-222396-637.php
Pour en savoir plus, comprendre le pourquoi refuser cette LGV :
http://www.voiesnouvellestgv.webou.net/accueil.htm
11 décembre 2010
15 h - salleLauga - Baiona
samedi 23 octobre 2010
Gréve Générale
http://grevegenerale64.wordpress.com/
En savoir plus sur ce qui se passe ailleurs :
http://www.7septembre2010.fr/
Appel de 450 syndicalistes pour une grève générale :
http://appel.des.450.syndicalistes.over-blog.org
Syndicalistes pour la grève générale :
http://www.syndicalistesunitaires.org/
Classe découverte avec l'école de Lons-perlic

Adishatz,
Ci-dessous le petit compte-rendu de l'école du Perlic suite à trois jours ensemble.
http://webetab.ac-bordeaux.fr/ecole-perlic-nord/vie_elementaire_045.htm
Pour les enseignant-es, n'hésitez pas à me contacter si vous voulez discuter d'un projet classe découverte.

dimanche 17 octobre 2010
Bona nueit mossur lo president !
Sarkozy: "Quand il y a une grève en France..."
envoyé par rue89. - L'actualité du moment en vidéo.
Et monsieur le Président des gens qui ont voté pour toi, c'est loupé...
Tu l'as toujours ton sourire arrogant ?
Plus trop ?
Dommage, nous on l'a bonhomme !
Regarde par là, tu comprendras pourquoi :
http://www.7septembre2010.fr/
Ca s'agite partout !
Bonne nuit quand même monsieur le Président des gens qui ont voté pour toi. Fais de beau rêve de... GREVE GENERALE !
jeudi 14 octobre 2010
Manifestation samedi 16 octobre
Adishatz
Suite à la dernière manifestation de mardi à Pau, une Assemblée Générale a eu
lieu et un appel à été lancé.Je ne peux que vous appeler à venir participer à
ce cortège populaire "Grève Générale". C'est le moment.
Un site pour savoir ce qui se passe ailleurs, avoir une
info un peu différente decelle de TF1 et se motiver
pour venir samedi, même s'il fait soleil...
http://www.7septembre2010.fr/
Voilà le texte de l'appel :
Appel de l’AG des grévistes du 12 octobre réunis à Pau
La centaine de personnes présentes à l’AG du 12 octobre
dernier appellent :
1- les salariés, chômeurs, paysans, étudiants et tous
ceux touchés par la réformedes retraites à organiser
des assemblées générales sur leurs lieux de travail et
dans leurs villes et villages pour voter le principe
de la grève générale jusqu'auretrait total de la réforme.
2- à nous rejoindre samedi 16 octobre à Pau lors de
la manifestation place Verdun,sur le terrain de
pétanque, derrière la banderole « Grève Générale »
sans étiquette de syndicat ou parti
3- à participer à la grande AG qui se tiendra place
Verdun, sur le terrain depétanque, avec les décisions
issues de leurs AGs pour le vote sur la grève générale
en espérant qu’elle devienne internationale
Que tous ceux qui se retrouvent dans cet appel le
diffusent aussi largement que possible.
mercredi 13 octobre 2010
Le Kollectif de l'Homme Seul

http://www.myspace.com/lekollectifdel39hommeseul
mardi 12 octobre 2010
Maison de la Montagne : appel à adhésion 2010-2011

Si vous ne le saviez déjà … La Maison de la Montagne n’est pas une association comme une autre.
Parce qu’à Pau, les montagnes sont notre horizon quotidien, nous avons voulu une Maison pour les montagnards, les grimpeurs mais aussi pour les habitants des quartiers. Les pics sont là, aux bouts des doigts pour les grimpeurs, des pieds pour la plupart d’entre-nous et d’un bout à l’autre du département, les Pyrénées dessinent une splendide barrière géographique et esthétique.
Créer la M.M à Pau, c’est ouvrir une porte sur une culture profonde et originale, c’est donner accès à un territoire sauvage et préservé.
Pour cela, il fallait inventer un lieu généreux, se donner un endroit qui sente la montagne et un coin de partage de la culture montagnarde. Y adhérer c’est participer à cette aventure collective.
Certes, nous n’avons pas été les premiers… Avant nous, d’autres lieux ont marqué la longue histoire du pyrénéisme et nous nous rappelons tous de Labérouat ou de la Goutte d’eau en Vallée d’Aspe.
Il y a aujourd’hui, quartier Berlioz, un lieu qui essaye d’y ressembler, qui tente de côtoyer les mêmes espérances humaines faites de partage, de fraternité, d’éducation pour rendre la montagne un peu plus sociale et un peu plus populaire.
Lieu des « possibles » et des « énergies rassemblées » la MM est là pour aider à réaliser des projets à caractère social, à mutualiser les moyens, pour rapprocher, innover, informer et débattre.
Ce n’est pas donc un club où on organise des sorties hebdomadaires, où on consomme une activité immédiate.
Quand on adhère à la MM on n’y gagne rien et on n’a droit à pas grand-chose, sauf le plaisir de travailler ensemble en commissions, la satisfaction de faire avancer le projet, l’utopie de rendre le monde plus solidaire, plus chaleureux et un peu plus juste.
A la MM, pour 16 €, on peut se payer encore le luxe de rêver. On n’y prend rien, on peut emprunter un livre mais surtout, infiniment, on redonne à d’autres ce que la Montagne nous a déjà donné mille fois, à chaque départ dans les lueurs frissonnantes de l’aube, à chaque source, dans les refuges et sur les cimes.
Adhérer à la MM c’est ajouter sa pierre à l’édifice d’une idée lancée au début des années 2000.
Alors, vos 16 € seront pour nous un gage d’indépendance et une marque de légitimité. Ils vont nous permettre de vous offrir encore de plus belles expos, d’accueillir des conférences, de monter des projets avec les jeunes des quartiers, d’acheter les derniers topos d’escalade, d’enrichir le fonds documentaire, de payer les abonnements des revues que vous aimez…
Alors si vous aviez oublié, si vous hésitiez encore, ou si vous voulez simplement aider cette belle aventure collective, pensez à ré-adhérer pour l’année 2010-2011 dès ce lundi. Les plus sportifs, pourrons aussi prendre ou renouveler leur licence FFME.
« Pour qu’une forêt soit superbe
Il lui faut l’âge et l’infini. »René Char
Pierre MACIA,
Président de La Maison de la Montagne
Le bulletin d'adhésion 2010-2011 :
http://blog.lamaisondelamontagne.org/post/2010/10/Appel-%C3%A0-cotisation-2010-2011
lundi 11 octobre 2010
Soutien à l'action de la Confédération Paysanne
« La Confédération paysanne est installée depuis 30 jours à la Maison du Lait, pour obtenir enfin le droit de siéger dans l’interprofession laitière. Cette demande, réitérée depuis plus de dix ans, a fait par le passé l’objet de rencontres avec l’interprofession et avec les responsables de la FNPL. Elle a aussi fait, il y a deux ans, l’objet de propositions de Michel Barnier alors ministre de l’agriculture pour que l’interprofession s’ouvre aux différents représentants de la profession agricole. Aucune de ces demandes n’a jusqu’ici abouti. Cette situation de monopole de représentativité de la FNPL, dont la représentativité ne peut être évaluée par aucun chiffre public, est archaïque. Personne ne croit plus que cela puisse durer, ni les pouvoirs publics, français et européens, ni la plupart des responsables syndicaux, ni les paysans qui dans un sondage publié par la France Agricole se sont prononcés à 73% pour des interprofessions ouvertes à tous.
La FNPL (Fédération Nationale des Producteurs de Lait) a proposé à la Confédération paysanne des rencontres « plus formalisées et régulières » mais refuse catégoriquement l’ouverture de l’interprofession laitière. La Confédération paysanne n’attend pas des rencontres « informatives » mais une place au Conseil d’Administration pour construire entre syndicats responsables l’avenir de l’agriculture en France avec des paysans nombreux et vivant de leur territoire.Cet immobilisme a amené quatre paysans de la Confédération paysanne à engager une grève de la faim, parce que l’avenir de notre profession ne peut se jouer dans un huis-clos opaque : cette grève de la faim a commencé le 27 septembre. De vraies propositions sont nécessaires pour débloquer cette situation qui n’a que trop duré. La FNPL et le ministère de l’Agriculture doivent chacun, dans son domaine, s’y atteler d’extrême urgence.
Nous soutenons la Confédération paysanne dans son action, dans sa revendication d’instaurer en agriculture des règles de pluralisme, de transparence et de démocratie pour défendre vraiment les paysans. Nous soutenons les grévistes de la faim qui ont choisi ce mode d’action pour porter la revendication de la Confédération paysanne. »Envoyez votre soutien à : dverot@confederationpaysanne.fr
en précisant "comité de soutien" dans l'objet du message
Los Petits Grans - Txikia Handi

Adishatz,
Les Calandretas sont signataires d'un manifeste avec d'autres structures représentantes des langues minorisées dont les ikastolas (à l'initiative de ce manifeste Los Petits Grans - Txikia Handi)
Il a été signé l'an dernier à l'occasion du Nafaroa oinez qui est une fête rassemblant des milliers de personnes pour les ikastolas de Navarre.
Ce manifeste est en ligne et peut être signé par tout le monde!!!
Le manifeste en français :
Tous les signataires de ce texte ci-dessous,
Nous voulons affirmer :
- Le monde est plurilingue- Les langues sont des trésors culturelles qui donnent à tous les pays du monde richesse et pluralité culturelle.
- Les langues sont des instruments essentielles pour le développement et l'identité de chacun.Nous voulons demander :
- Le droit des langues minorisées à être respectées,- Le droit à utiliser notre langue dans tous les secteurs de la société,
- Le droit à une complète officialité pour nos langues sur leur territoire,
- Le droit de disposer d'aides pour normaliser nos langues, surtout dans le secteur de l'éducation.
Nous nous engageons :
- A continuer à travailler pour la normalisation des langues, en créant des liens qui nous unissent, parce que c'est l'union des petits qui nous fera grands,
- A faire connaitre le plus possible ce manifeste.
http://www.nafarroakoikastolak.net/oinez/eu/sinadurakOC.asp
Site Confédéral : http://calandreta.org
Site Calandreta : www.calandreta-bearn.org